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Collégiale Notre-Dame de Roscudon

« Le » monument de Pont-Croix est l’église Notre Dame de Roscudon, « belle comme une cathédrale ».

Six étapes de construction, échelonnées sur cinq siècles

Sur la façade sud, s’épanouit le porche, véritable dentelle de pierre, érigé à la fin du XIVe siècle. Trèfles et quadrilobes s’ordonnent élégamment dans des rosaces caractéristiques du gothique rayonnant. Du haut de ses 63 mètres, l’aiguille du clocher du milieu du XVe siècle nous contemple. Elle a servi de modèle pour les flèches de la cathédrale St Corentin de Quimper.
En entrant, vous serez surpris par la grandeur de l’édifice. La nef, partie la plus ancienne de l’édifice, du XIIe siècle, forme un vaisseau lambrissé porté par d’élégantes arcades et de fins piliers. Leurs caractéristiques, à la charnière entre le roman et le gothique, ont été reprises dans une trentaine d’églises et chapelles de Cornouaille.

Les imposants piliers du transept portent le clocher et sa flèche.

Le chœur reprend en partie le style de la nef  ; l’agrandissement du XVIe siècle l’ancre davantage dans le style gothique. La chapelle sud constitue un autre agrandissement de l’église ; dès la fin du XIIIe. La modification du chevet au XVIe est la dernière modification architecturale majeure.

Des trésors de lumière

L’église conserve de très beaux vitraux, s’échelonnant entre le XVe et le 20e siècles. Une verrière du XVIe siècle, décline une vie de la Vierge et des scènes de la Passion, autour d’une représentation des donateurs et dans un décor Renaissance. Des ensembles de la fin du XIXe siècle colorent joliment la chapelle du Rosaire, le chevet et la façade nord. L’un d’entre eux a la particularité de présenter le portrait des enfants de la donatrice, Jeanne Catherine Weysseire. Deux compositions de 1977 et 1978 témoignent de l’art de la couleur du maître verrier Jean-Jacques Grüber. La verrière nord développe le thème du dépassement de la Mort et présente une magnifique déclinaison de bleu, relevés par des pointes de rouge. La verrière sud insiste sur le rôle central de la femme, tout en mettant en scène l’enfance et le travail de l’homme.

De charmantes statues

L’église comporte de nombreuses statues, de très bonne facture. Les représentations sont liées à l’histoire locale et répondaient au besoin de protection des fidèles. Ste Philomène, St Roch, l’Ange gardien … allient élégance, charme et qualité de traitement.

De riches retables

L’église comporte de nombreux retables, majoritairement de style baroque. Ils sont dédiés à St Nicolas, St Pierre aux Liens, St Joseph, la Vierge de l’Assomption ou encore Ste Véronique. Le retable de la Cène est le plus curieux d’entre eux. Dans un décor semblable à celui d’un théâtre, la variété des attitudes et la vérité des expressions des Apôtres sont exceptionnelles.